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Mon fils m'a alors saisi les mains de nouveaux en me demandant de me calmer, Que ce n'était rien, que ça allait passer.

J'avais Entendu des pas montait l'escalier, mais je ne savais toujours pas qui c'était, je me suis trouvé soulager quand j'ai aperçu au bout du couloir le visage de ma fille.

De nouveaux me retournant vers mon fils, il avait vraiment l'air de ne se souvenir de ce qui s'était passé.

Il expliqua à ma fille, que je l'avais giflé certainement du à une hallucination.

La ma fille et mon fils, m'ont saisi de chaque côté me conduisant ainsi à ma chambre, Mon mari quelques minutes après ma rejoint un verre d'eau à la main.

Tiens bois ma chérie, tu vas prendre sa s'étais un somnifère, et tu verras demain ça iras mieux.

Je m'endormis rapidement, avec le souvenir de ce vent glacial sur mon visage, et surtout des mains de mon fils explorant ma poitrine.

Le lendemain matin à mon réveil, mon mari était à mes côtés me demanda comment j'allais, ce qui s'était réellement passé, si je voulais un médecin.

Tout en expliquant à mon mari, que maintenant ça allait mieux, que ça devait être du à la fatigue, et que ça ne se reproduira pas qu'il n'avait pas à s'inquiéter, Je savais au fond de moi, que je n'étais pas folle.

Et j'étais bien décidé à lui prouver.

Une semaine, cela fait maintenant une semaine qui ne sait rien repasser, pendant ce temps j'ai bien essayé au dos de ma famille, de refaire des recherches sur le manoir, mais je n'ai rien trouvé si ce n'est, qu'il appartenait avant nous au duc de Montfort, apparemment un nomme cynique, sans amis ni attaches, d'après les récits Trouvez le concernant il aurait disparu du jour au lendemain sans laisser de traces à l'âge de 59 ans.

Désormais, quand je me retrouve seul chez moi en compagnie de mon fils, je m'efforce d'être le plus à l'écart possible, cela me gêne bien évidemment C'était mon fils tout de même, mais je ne souhaité Vraiment pas revivre un incitant comme j'avais connu, bien évidemment je ne lui ai jamais parlé, ni à lui ni à un autre membre de la famille de ceux qui s'étaient réellement passés ce soir-là.

La nuit était tombée, je fus réveillé de nouveaux par un léger vent glacial, je compris très vite ce qui était de nouveau en train de se passer.

Je regardais autour de moi, il n'y avait personne seule Mon mari était couchée sur le côté me tournant le dos.

Il n'était pas question pour moi de le réveiller pour l'instant, je ne tenais vraiment pas à me faire passer de nouveau pour une folle.

Alors je n'ai rien dit, je me suis levé discrètement quittant ainsi la chambre, Je me suis mis à suivre de nouveaux malgré ma peur ce vent glacial, quand de nouveaux je me Suit trouver face à cet porte secrète , elle était là de nouveau face à moi comme par magie.

De nouveaux jeux les alors poussé, est comme à la première fois la lumière s'est allumée, me montrant ainsi toujours un escalier donnant sur une pièce , à la seule différence est que cette fois-ci je ne me voyais pas d'ombre se déplaçait.

Après quelques minutes de réflexion, et voulant me prouver à moi-même que je n'étais pas folle, bien malgré ma peur, j'avance le premier pas afin de descendre les marches une par une.

Plus je descendais, plus le vent était glacial.

Une fois arrivée devant l'entrée de la pièce, je découvrit un lit au beau milieu de la pièce, sur le lit reposé une jupe de couleur rouge vive, été posé également une veste rouge vive sortie à la jupe.

Sur la tête d'oreiller Je découvrais également une chaîne, et au bout de cette chaîne un médaillon il représentait un chapeau.

Là Une petite voix douce, très très douce, jamais encore je n'avais entendu une voix aussi douce, qui me demandait de passer le médaillon autour du cou.

Je ne voulais pas prendre ce médaillon, mais la voix était tellement douce, qu'il mettait un possible de refuser, et bien malgré moi j'ai attrapé le médaillon que j'ai fait glisser au tour de mon coup.

La j'ai ressenti une chaleur en moi, une très très grande chaleur, Soudainement j'ai senti la pointe de mes seins durcir soue Le fin tissu de ma combinaison de soi.

Je ne me reconnaissais plus, j'avais des images obscènes dans ma tête, je revoyais les mains de mon fils sur ma poitrine, je me mis à le traiter de petits salop ! a 'haute voix , pire encore j'avais des visions de mon fils en train de me prendre sauvagement, tout se mélangeait dans ma tête il y avait également des visions de ma fille Me faisant l'amour, sans compter que je me voyais soumise au petit ami de ma fille.

La est apparu la silhouette sur le mur, une voix obscène s'est alors dégagé de la pièce pour me dire, maintenant tu es mienne.

J'ai alors voulu retirer le collier, mais rien n'y faisait il était impossible d'y mettre mes mains, La le vent glacial s'est alors deux nouveaux arrêtés , Soudainement Je compris que je n'étais plus sous son emprise alors je me suis empressé de remonter l'escalier, tout en montant l'escalier , de nouveaux j'ai bien essayé de retirer le collier Afin de le jeter , mais cela était toujours impossible Je ne pouvais pas y mettre les mains , une fois remontée je me suis empressé de refermer la porte derrière moi au plus vite.

Regagnant ma chambre, mon mari était toujours en train de dormir sur le côté , Je savais maintenant que cela n'était pas mon imagination, et de ce fait je n'étais pas folle

J'étais loin d'imaginer, je dirais même très loin ce que ce médaillon allait me pousser à faire.

Et j'allais très vite le découvrir.

Trois jours, trois jours que je porte ce médaillon Autour du cou, mais le plus bizarre et que je suis la seule à pouvoir le voir, personne dans ma famille, ou mes amis, n'ont remarqué mon médaillon.

Nous sommes le samedi il est 12:20 , je suis dans la cuisine à préparer le souper , Aujourd'hui Je porte une jupe de couleur jaune Qui m'arrive au genou, Mais longues jambes sont recouverts de bas noirs , concernant mais de sous , je porte un soutien-gorge de couleur gris en soi, il est recouvert de petites fleurs de couleur noire, sous ma robe j'ai également revêtis une petite culotte assortie à mon soutien-gorge, c'est-à-dire grises de soi, brodé de petites fleurs blanches, j'ai également revêtis un Pull ouvert de couleur blanc , à mes pieds chez une paire de deux chaussures à hauts talons.

Mon mari vient d'entrer, comme à la coutume il me dépose un léger baiser avant d'aller Prendre place à table afin de dîner, ma fille et mon fils, ainsi que le petit ami de mon fils sont déjà attablés.

Mon fils et tout excité, sa copine arrive dans 12 jours , quant à moi j'ai reçu ce matin un courrier indiquant, que ma soeur aurait été heureuse de passer quelques jours chez nous, bien évidemment je me suis empressé de lui répondre que oui, j'étais très heureuse à l'idée qu'elle vienne passer quelques jours à la maison, son arrivée est prévue dans trois jours.

Ces bons 12:30 le repas est prêt, j'apporte les plateaux et me met à table, nous sommes tous attablés à ma droite il y a le petit ami de ma fille, à côté de lui se trouve Bien évidemment ma fille, à ma gauche mon fils, au bout de la table mon mari.

Soudainement à peine le dîner commençait, que je ressentais le petit vent glacial me souffler au visage.

Ho non Ça me reprend.

Soudainement comme possédé Je me suis mise à écarter les jambes , Une grande chaleur s'est mise à me parcourir le corps , Tout en se sentant le petit vent glacial de plus en plus froid sur son visage, comprenant la situation elle s'empressa de quitter la table protestant tant qu'elle en eut encore la force un léger mal de tête., Elle savait bien que plus le vent était glacial , moins elle pouvait contrôler ses faits et gestes.

Son mari lui propose sa de monter lui chercher, Quelque chose , chose Bien évidemment ,Que je refuse énergiquement quittant ainsi la pièce, à peine quitté la pièce , Que de nouveaux je me mit à sentir La pointe de mes seins durcir, Je courus alors rapidement dans l'escalier, ce qui au passage intrigué mon fils, qui ne tarda pas À suivre.

J'ai bien tenté de l'en dissuader, et de me laisser!

Mais rien n'y a fait, il m'a rattrapé en haut de l'escalier.

Mais maman que t'arrive-t-il ?

Laisse-moi, va rejoindre immédiatement ton père

J'ai peur de, mais alors que je n'avais pas eu le temps de lui dire ce qui me faisait peur, je me suis retrouvé de nouveaux comme possédé et lui ai dit.

Petit salo !

Ça te plaît de courir derrière moi?

Il me regardait d'un air hébété.

C'est ça , J'ai raison ça t'excite De courir après ta mere ?

Mais ça va pas! Qu'est-ce qui te prend?

Dis-moi, que je Je te plais!

Elle est belle, ta mere tu trouves pas?

Tiens regarde , Bouffeur de chatte .

La à mon grand des espoirs ger alors relevé ma jupe jaune.